Les incontournables
La révolution moderniste contrevient aux règles édictées par l’Académie. Ces critères permettent de juger de la qualité d’une œuvre d’art. En particulier celles qui concernent la composition, la perspective linéaire, la primauté du dessin, l’importance du fini, autant de normes que les modernes chamboulent. Pour comprendre la révolution esthétique des modernes, il est essentiel de comprendre dans quelle mesure elle marquait une rupture radicale avec les conventions de son temps.
Tout l’enseignement de la très réputée école des Beaux-Arts française reposait sur le dessin du corps humain. Les étudiants d’année en année, copiaient les nus des sculptures antiques, parce que ce corps humain depuis Vitruve était au cœur des règles de la beauté absolue. Pourtant ce beau idéal ne correspondait pas au beau anatomique et réel que les modernes lui préfèreront en s'éloignant des canons académiques, quitte à dépeindre le laid.
Tout l’enseignement de la très réputée école des Beaux-Arts française reposait sur le dessin du corps humain. Les étudiants d’année en année, copiaient les nus des sculptures antiques, parce que ce corps humain depuis Vitruve était au cœur des règles de la beauté absolue. Pourtant ce beau idéal ne correspondait pas au beau anatomique et réel que les modernes lui préfèreront en s'éloignant des canons académiques, quitte à dépeindre le laid.
La révolution moderniste contrevient aux règles édictées par l’Académie. Ces critères permettent de juger de la qualité d’une œuvre d’art. En particulier celles qui concernent la composition, la perspective linéaire, la primauté du dessin, l’importance du fini, autant de normes que les modernes chamboulent. Pour comprendre la révolution esthétique des modernes, il est essentiel de comprendre dans quelle mesure elle marquait une rupture radicale avec les conventions de son temps.
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